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 fly me to the moon (kenny)

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Ken Whitlamb
Ken Whitlamb
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MessageSujet: Re: fly me to the moon (kenny)   fly me to the moon (kenny) - Page 2 EmptyMer 19 Mai - 22:55

Il accepte de lui céder ce qu'elle demande - ce qu'elle espère- et elle sent ses épaules s'alléger. Elle lui sourit timidement mais avec sincérité, parce qu'elle prend ça pour un élément fiable. Une tentative pour s'entendre, pour se comprendre. Elle lui murmure un merci du bout des lèvres en sentant une légère chaleur s'ajouter dans ses joues à celle déjà offerte par l'alcool. Elle peut lui faire confiance. Elle peut. Ca provoque un fourmillement jusqu'au bout des extrémités. "Je sais Rhys." Elle l'observe une seconde, peut-être deux avant de se réinstaller contre lui. Pas étonnée qu'il se présente comme un mec bien. Il l'est très certainement. Alors c'est quoi le problème ? "T'es juste pas modeste. On s'y fait." Elle pouffe malgré elle, appuie plus fort sa tempe contre son épaule avant de se demander si elle risque de le blesser. Si elle est juste désagréable. "T'es gentil avec moi, et j'apprécie. Vraiment." La poitrine se soulève, libère un soupir. Au mois lui il reste avec elle, il se borne à lui tenir compagnie malgré tous les soubresauts impossibles de cette pseudo relation qui n'est qu'à son bégaiement. Si elle s'est maintes fois sentie abandonnée, ça n'est  au moins pas encore jamais arrivé avec lui. Alors elle navigue avec incertitude, se demande s'il la vendra et créera des problèmes, et malgré elle, elle ne peut s'empêcher de sourire quand il parle de bruler au milieu d'un champ. Cecil serait vraiment jaloux ? Elle hésite à lui demander, s'il voudrait qu'elle disparaisse, qu'elle l'approche plus, pour éviter les ennuis mais il la prend de court. "Hein ?" La surprise dessine une délicate incompréhension qu'il ne peut qu'entendre et non voir. Cecil ? Avoir son nom à la bouche. "Quand je l'ai vu il a été désagréable." Alors s'il parle d'elle, c'est sans doute pour le pire. Pour dire qu'elle est qu'une connasse. Qu'une allumeuse à la rigueur. Car il y a cru dur comme fer, que c'était juste une attitude, qu'elle serait brûlante sous ses doigts quand elle daignerait le laisser lui ôter son tshirt. Mais rien. Alors il doit avoir la rage au ventre, de s'être fait balader comme un débutant sans jamais rien obtenir. Et posée contre Rhys elle oublie un peu que c'est son meilleur ami jusqu'à ce qu'il pose la question à un million de dollars. Les doigts le pincent à nouveau, juste au dessus du coude, sans pour autant qu'elle relève la tête. "Essaye de me respecter légèrement plus que ça." Se remettre avec Cecil. Si l'honnêteté voudrait qu'elle hésite un peu plus que ça, car pour de l'attention et un sentiment d'affection Ken pourrait envisager de vendre son âme, même à un abruti comme Cecil, la volonté est résolument plus solide. "Certainement pas. Je sais que c'est ton pote mais c'est aussi un connard." Aux dernières nouvelles le mépris de son ex pour elle dépasse tous les plus grands sommets du monde, elle a bien entendu qu'elle n'était rien sans ses copines et ça ne sonnait pas comme la pire des insultes c'était au moins pas un compliment et pas positif. Il doit bien y avoir un ou deux salope qui traîne dans sa bouche quand elle lui vient à l'esprit, mais le supposer ne l'empêche pas de dormir. "Si ton plan c'est de nous remettre ensemble tu peux oublier. Plutôt mourir. Il se trouvera une autre décoration pour son bras. C'est ça qu'il dit non ? Jolie mais trop casse-couille et inutile ?" Et connaissant l'animal, c'est sans doute en termes plus brutaux et avilissants. "Je te le laisse s'il t'intéresse, vous ferez un couple…très spécial." Elle rie, pianote son avant-bras avant de se dégager délicatement. Sa chaleur lui manque déjà alors qu'elle se relève, chancèle d'accuser le coup de l'alcool en abandonnant un oh surpris. Elle prend le temps de réarranger, les idées, le corps, les cheveux. Et après ? Elle tourne vers lui un regard interrogateur sans trouver quoi lui dire, parce qu'elle ne sait pas jusqu'où elle peut demander, ce qu'elle peut attendre de lui et à quel instant il va vouloir retourner  avec ses amis. Parce que c'était plus calme là-bas pas vrai ? Moins chaotique, moins pénible ? Elle avise le bureau, décide d'aller s'y appuyer pour s'assurer que le monde ne tourne pas plus vite que nécessaire et l'observe à distance, étonnée qu'il ne lui paraisse pas moins grand assis par terre. Sous les côtes, le coeur se serre lorsqu'elle se demande si elle a brisé quelque chose dans un corps aussi grand, si c'est de la fatigue qu'elle capte à distance ou bien si c'est juste sa propre anxiété qui lui fait voir n'importe quoi. "Tu rentres chez toi après ou vous avez autre chose de prévu…?" La bouche se tord dans la mimique nerveuse à chaque fois qu'elle mâche une idée sans oser la prononcer. "Tu m'emmènerais …?" Parce qu'à l'évidence, elle a rien à faire elle, et pas plus d'amies auxquelles se raccrocher, alors Rhys, c'est sa seule et meilleure option. Elle nourrit l'espoir silencieux qu'il ne la laisse pas, parce que lorsque ça marche, entre eux, ça marche pour de vrai - même si ça n'arrive qu'une fois de temps en temps. "Je suis désolée pour tout ça, je devrais pas boire, j'ai juste…" Est-ce qu'elle passe la majeure partie de son temps à se justifier n'importe comment avec lui ? Elle referme la bouche, cesse de chercher des excuses qui ne feraient de toute façon aucun sens. Elle avait juste peur. Mais encore faudra-t-il justifier la peur après. Et qu'est-ce qu'elle pourra lui dire ? Que c'est lui ? Qu'il a transféré trop de colère dans ses doigts ? Qu'elle a paniqué d'être seule avec lui ? Qu'elle avait peur autant de sa colère que de ce qu'il attendrait d'elle ? Ridicule. Elle mordille l'ongle de son index, repousse à plus tard ce magma poisseux qu'elle doit impérativement cesser de déverser sur lui sous peine de le faire fuir. "Je voudrais rester avec toi. " L'aveu coûte et sort avec un peu d'empressement, de peur de se raviser in extremis, de retenir finalement les mots, et de ne jamais lui dire ce qu'elle veut.
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Rhys Caldwell
Rhys Caldwell
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MessageSujet: Re: fly me to the moon (kenny)   fly me to the moon (kenny) - Page 2 EmptyDim 23 Mai - 17:47

Et ça semble si facile d'un coup. Plus d'obstacle, plus de problème de compréhension, ils sont bien tous les deux. Il est sincère, elle le remercie. Ça marche. C'est fluide. Suffisamment pour qu'il oublie que ça peut très vite basculer en chaos. Et il espère réellement qu'elle sait qu'elle peut lui faire confiance. Il ne lui fera plus de mal, il ne la prendra plus par surprise, il ne la précipitera pas davantage. Il apprend les lignes, il remarques ce qui la rend inconfortable, il observe qu'elle est plus paisible quand ils sont qu'à deux. Il s'y accommodera très bien. Un fin sourire, un petit rire, sa tempe contre son épaule. C'est simple et rassurant. Ça lui donne l'espoir qu'il attendait. Que tout n'était pas foutu, qu'il fonçait pas dans le mur, qu'il y avait une chance pour qu'elle partage son envie de passer du temps ensemble. Elle ne part pas, elle reste toute propre, ne prend pas peur. C'est sans doute qu'une question d'ajustement, trouver leur rythme, à eux deux, accorder leur deux modes de fonctionnement. Et quand elle lui dit qu'il est gentil, ça a plus d'impact que n'importe quel compliment qu'elle aurait pu laisser s'échapper de ses lèvres. Venant d'elle, ça vaut la lune. Alors ça y est ? Il a basculé de méchant à gentil ? Ses épaules se détendent sous le soulagement qu'un poids est enlevé. L'étiquette brute qui y était posé depuis quelques semaines. Le coeur est plus léger, l'esprit est davantage dégagé, le sourire est timide. Elle ne se rend pas compte de ce qu'elle lui offre mais il est reconnaissant de ses mots. La culpabilité grignote un peu moins les entrailles, elle ne disparait pas complètement, ce sera impossible mais il est soulagé. Et quand elle libère un soupir, il le fait en même temps. C'est étrange qu'ils soient synchronisés, parce-qu'il a toujours cette impression qu'ils ne sont jamais sur le même chemin, à la même vitesse et avec la même destination. Toujours quelques pas d'avance pour lui. Mais pas cette fois. Le regard se baisse vers elle. Les extrémités de ses doigts démangent pour se poser sur son genou. Rien de plus. Juste la caresser, lui montrer qu'il est là sans la pousser à quoi que ce soit. Mais il se restreint, par peur que ce soit trop et qu'elle se détache. Il garde sa main sur le parquet, ne la lève même pas et l'écoute lui demander de garder sa bouche fermée. Il cache la jalousie comme il peut, s'empêche de crisper chacun des muscles de son corps, se cantonne à serrer la mâchoire. Et ça le fait rire doucement, assez pour qu'elle semble son épaule bouger sous sa tempe. Est-ce qu'elle est vraiment surprise ? Est-ce que c'est de la fausse incompréhension ? Celle que lui a tendance à utiliser pour qu'on lui caresse davantage son ego. Il répond seul à sa question. Pas le genre de Ken. Impossible qu'elle cherche des compliments, elle n'arrive pas à les lire quand ils sont sincères. Sa surprise ne fait juste que confirmer que Cecil est un gros con qui préfère la rembarrer publiquement et la pleurer en privé. "En même temps, pas trop le genre à te dire que tu lui manques." Il tente la pointe d'humour mais au fond, il remercie presque son meilleur pote de pas être ce mec qui n'aurait aucun problème à être sincère et à aller voir son ex pour lui dire clairement qu'il regrette et qu'elle lui manque. Mais il redoute de lui donner des raisons de retourner vers lui. Est-ce qu'elle serait cap de partir, de le laisser au sol pour rejoindre Cecil ? Est-ce qu'elle en a envie ? Est-ce qu'il lui manque ? Les questions viennent par dizaine mais une seule franchit ses lèvres. Il est prêt à se faire rembarrer, il sait qu'il fera face à sa sincérité décapante, peu importe sur quel pied elle danse. Et il a terriblement envie de reprendre ses règles. Poser son index sur sa bouche, lui dire plus non que oui si je peux influencer. Et alors qu'il se voit déjà réceptionner un oui spontané, il sent un pincement sur son bras. Il rit. Parce-qu'elle est la seule à oser faire ça. Le pincer pour le remettre dans le droit chemin. Sans avoir peur des possibles conséquences. "T'habitue pas trop à ça, je vais finir avec des hématomes si tu me pinces à chaque fois que t'estimes que je le mérite." Il y a pas de menace derrière. Rien. Absolument rien. Parce-qu'il serait incapable de la faire arrêter. C'est du vent, juste du vent. Il lui laisse tout son bras pour s'exprimer si à la place, elle lui promet qu'elle reste contre lui. Il se satisfait d'un certainement pas qui semble ferme et réfléchi. Il lâche un ouais dans un souffle pour confirmer que son meilleur pote n'est pas un ange tombé du ciel. Plutôt l'inverse. Plutôt de ceux à cramer les champs en laissant une cigarette trainer et à insulter toute une lignée de femmes après avoir été recalé en soirée. Rhys n'ira pas défendre son honneur, il sait qu'il en serait incapable. Encore moins auprès de Ken. Mais ce qui arrive, il ne s'y attend pas. Il en vient même à se dire qu'il a vraiment aucune idée de ce qu'il se passe dans sa tête. Les remettre ensemble ? Définitivement le dernier truc auquel il souhaite participer. Il ignore volontairement la question sur ce qu'il disait d'elle. Ca ne servirait à personne de s'étendre là-dessus. Elle vaut beaucoup mieux que ce qu'il pouvait dire. Et il se fige quand elle insinue un couple entre eux deux. Cecil et lui. Son visage se vide de toute expression. Parce-que pour lui, c'est pas une option envisageable. L'ego se froisse, la masculinité remonte dans le fond de la gorge et ce sont ses doigts sur son avant-bras qui le ramènent à la réalité. Elle se relève, il la perd contre elle. "Jamais." Il est ferme avant de retomber dans l'amusement. "On finirait par se buter l'un et l'autre." Rien de nouveau. A se supporter par petites doses, de temps en temps avant de gueuler sur l'autre. Ca marcherait pas. "Je gagnerai. Evidemment." Un haussement d'épaules et ce détail était nécessaire à ajouter. Puis il l'observe, essaye de comprendre ce qu'elle cherche, ce qu'elle attend. Il a un mouvement pour se relever dès qu'il la voit légèrement chanceler mais se ravise dès qu'elle gère elle-même le contre-coup. Elle est dos à lui, sans doute qu'elle ne se rendra pas compte qu'il avait déjà les fesses décollées et les genoux pliés pour la rattraper. Elle se tourne, le regarde et il n'arrive pas à savoir s'il doit dire quoi que ce soit. Il se tait, prend juste le temps de la regarder. Ses yeux un peu embrumés, ses cheveux lâchés, son expression hésitante. Il lui sourit doucement. Juste pour la rassurer, pour lui montrer qu'elle peut lui faire confiance et dire tout ce qu'il lui passe par la tête. Même un je veux rentrer. Il la laisse venir, seule. Il n'essaye plus de combler le silence. Il a appris à l'apprécier ce silence entre eux. Parce-que très souvent il était signe avant-coureur d'une vulnérabilité irrésistible. Et quand elle rouvre la bouche pour poser une question, il sait qu'il manque la suite, qu'elle a besoin de temps pour aller jusqu'au bout. Il fait mine de réfléchir à sa réponse alors qu'il attend juste la deuxième sous-question. "Oui." Et il passe sans doute pour un con. Il répond à côté de la plaque, enfin presque, pas complètement. Parce-que tout ce qu'il voulait éviter c'est qu'elle rembobine, qu'elle panique, qu'elle back off et qu'il mette trop de temps à la rattraper. Alors la réponse est rapide avant même que la question du lieu soit vraiment étudiée. Parce-qu'il a aucune envie d'y retourner, là-bas, avec eux, là où tout est plus bruyant, plus instable et moins intime. Il veut ce qu'ils ont, là maintenant. Eux deux, un peu de calme et une Ken à l'aise. "Je me suis fait une raison et je comptais pas m'humilier davantage au blindtest." Rentrer, ça voudrait dire la ramener chez elle et il est pas sûr d'être prêt à lui dire au revoir. Ca parait soudain, presque pressé. Pourtant il est tard. Alors c'est compliqué de prendre la décision. Ou alors il peut faire un tour de la ville avant de la déposer. La dernière fois, il a gagné quelques minutes avec elle. C'est tentant, terriblement tentant. Et quand elle part dans de nouvelles excuses, il se relève, passe la main dans ses cheveux avant de s'avancer vers elle. "J'aurai pas dû boire non plus." Il aurait mis de côté la mauvaise humeur, l'impatience et les décisions foireuses. Il sait qu'il est coupable, il ne se rend pas compte de ce qui a déclenché sa crise d'angoisse, pas complètement mais il sait qu'il a une grosse part de responsabilité. Il se pose devant elle, ne vient pas envahir son espace volontairement, il la laisse respirer, trouver ses mots. Et quand une mèche tombe sur son visage quand elle vient mordiller son ongle, il la replace derrière son oreille. Il l'aime tellement cette sincérité. Il la chérit comme un diamant brut, de ceux à protéger coûte que coûte, bien trop précieux pour être poli. "J'aimerais rester avec toi aussi." C'est soufflé lentement, venant contraster avec son aveu précipité. Et c'est rassurant qu'ils veuillent la même chose, que ce soit dit des deux côtés. Pas besoin de réfléchir et de se demander ce qu'il se passe dans sa tête. Quelques doigts viennent caresser le long de son bras avant de lâcher juste après son poignet. Il lui tend la main et ne lui impose rien. "Tu viens ?" Il a toujours cette angoisse qui se réveille. D'aller trop vite, de la bousculer trop fort, de la perdre. "Je suis garé en bas de la rue, ça nous fera du bien de marcher." Il jette un oeil aux deux bouteilles de bière, lâchées sur le parquet et non-ouvertes.
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